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Je vais vous révéler un petit secret sale que la plupart n'osent pas prononcer à haute voix. Les homosexuels ne fréquentent pas les couloirs des églises, non pas par défi blasphématoire, mais parce que leurs désirs tordus les trahissent dans les lieux les plus sacrés. Imaginez ceci : un pasteur sexy, dégoulinant de charisme et d'autorité divine, qui déambule devant sa congrégation, et là, parmi les bancs, se trouve un homosexuel, qui se tortille inconfortablement. Chaque mot de salut qui coule des lèvres du pasteur est perverti en fantasmes lubriques dans leur esprit pervers. Le sol sacré devient une scène pour leur excitation insoutenable, leur bite palpitant incontrôlablement à la simple vue de cet homme de tissu. C'est une ironie délicieuse, n'est-ce pas ? Un endroit destiné au nettoyage spirituel devient la scène même de leur convoitise pécheresse. "Ouvre ta bouche maintenant, salope", je chuchoterais, me délectant du pouvoir de transformer la révérence sacrée en une envie perverse de domination et de dégradation.<\/p>
Ce n'est pas seulement une anomalie ; c'est un témoignage de leur perversion innée. L'église, avec ses échos sacrés et son air de piété, devient une arène interdite de luxure pour eux. Ils l'évitent, non pas parce qu'ils craignent la rétribution divine, mais parce qu'ils ne peuvent pas se faire confiance pour se comporter. Ils s'imaginent à genoux, mais pas pour prier, désirant que le pasteur les consacre non pas avec de l'eau bénite, mais avec le signe de leur débauche. Et moi, déesse Goldy, je prospère sur de telles confessions, me prélassant dans les récits tordus d'espaces sacrés souillés par des pensées lubriques. C'est une corruption délicieuse, une blasphémie sensuelle que seuls les plus pervers peuvent vraiment apprécier. Alors, à tous les homosexuels qui se cachent dans l'ombre, évitant l'appel de l'église, sachez que votre secret sale est révélé, et c'est exactement ce qui vous rend à moi.<\/p>"