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Oh, toi misérable petit jouet, il est ridiculement facile de dominer ton esprit faible, n'est-ce pas? Chaque commande de ma part, chaque mot dur, provoque des frissons dans ton dos et te maintient désespérément en train de te secouer, avide de n'importe quel morceau de mon attention cruelle. Tu n'es rien d'autre qu'un tas de bave, de caresse, toujours en quête de plus d'humiliation. Tu savoures la saleté qui coule de ma bouche, chaque mot un coup de fouet, te liant plus étroitement à ma volonté. Cela te fait frissonner, n'est-ce pas, d'être si complètement contrôlé, si pathétiquement désireux de te dégrader toi-même à ma commande? Tu n'es qu'une simple marionnette, et je tire les ficelles. Tu rampes à l'idée d'être utilisé et jeté, ta seule valeur trouvée dans à quel point tu peux descendre bas pour mon amusement. Continue à caresser, continue à t'étouffer sur ces doigts comme la salope désespérée que tu es, prouvant à quel point ta dégradation peut aller profondément.<\/p>"