Alors je l'ai refait, les gars. Je n'ai pas vu mon colocataire... Je suis entré... Je me suis assis directement sur son visage... Et j'ai libéré une tempête mondiale de pets qui a été directement dans ses narines. Cette fois, c'était vraiment mauvais ! Je venais de terminer le yoga chaud et un entraînement, et je portais encore mes leggings noirs et mes vêtements de sport. Mon trou du cul était prêt et prêt. Humide et juteux ! J'ai laissé échapper certaines des pires flatulences, les plus humides, les plus moites, les plus dégoûtantes que j'aie jamais eues. Et je ne savais pas que mon colocataire prenait tout cela sur son visage. Pauvre gars n'avait aucune chance. Il était juste allongé là, inspirant mes pets. Le gars doit vraiment arrêter de faire la sieste sur des chaises.